9 fiches pratiques pour faire progresser l'égalité de genre dans votre organisation, dans vos partenariats et dans vos relations interpersonnelles
Le F3E, en collaboration avec Coordination Sud, viennent de sortir un guide de repères "Vivre le genre ! 9 fiches pratiques pour faire progresser l’égalité de genre".
Ces 9 fiches sont :
- Fiche 1 - L'indispensable volonté politique;
- Fiche 2 - De la volonté politique à la mise en oeuvre, une question de cohérence
- Fiche 3 - Les bons leviers à trouver, selon son organisation et ses spécificités
- Fiche 4 - Dans des contextes a priori peu favorables à l'égalité de genre : comment avancer ?
- Fiche 5 - Se mettre en réseau pour se nourrir mutuellement
- Fiche 6 - Identifier et soutenir des allié-e-s à tous les niveaux
- Fiche 7 - Les évolutions personnelles en faveur du genre
- Fiche 8 - "Référent-e genre : comment s'y prendre avec ses collègues ?
- Fiche 9 - L'insoutenable sexisme ordinaire : comment aiguiser les esprits ?
Nous vous rappelons aussi les autres outils développés par LMSF pour vous aider à intégrer le genre dans votre organisation et vos projets et contribuer à l'égalité de genre dans la société : http://www.mondefemmes.be
Le 8 mars 2018 est la Journée internationale de lutte pour les droits des femmes. Pour rappel, cette journée a été instituée par l'ONU pour révendiquer l'égalité entre hommes et femmes. C'est aussi l'occasion de se remémmorer les luttes antérieures.
L'aide a diminué de 6,7 % entre 2014 et 2015, passant ainsi de 0,46 à 0,42 % du Revenu national brut (RNB) – bien loin des 0,7 % que la Belgique et l’Union européenne s’étaient engagées à atteindre en 2015. Au total, les coupes cumulées entre 2011 et 2019 dépasseront les 2 milliards d’euros, faisant de l’aide la principale variable d’ajustement budgétaire du gouvernement belge.
Les acteurs de la coopération ont une tendance naturelle à se tourner vers les jeunes en Afrique: "l’avenir est à la jeunesse" . Cette transposition de notre modèle de pensée empêche parfois les projets de s’implanter localement, car il n’y a pas d’appropriation par les plus âgés, qui continuent à être des acteurs décisifs du changement au Sud. Quelle est, au juste, la place des aînés dans les sociétés africaines? Quels rôles assument-ils? Leurs prérogatives ont-elles évolué sous l’impact de la modernisation (urbanisation, nucléarisation des familles, scolarisation)? Pourquoi impliquer les aînés dans les projets de coopération demeure-t-il impérieux? Et puis, last but not least, comment les approcher et nouer des relations de confiance? Autant de questions qui semblent bien déterminantes pour la réussite des projets de coopération dans le Sud.