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Ce 8 mars 2023, nous célébrerons la Journée internationale de lutte pour les droits des Femmes. Ci-dessous, un bref aperçu des actions prévues à cette occasion ainsi qu'un rappel des principaux outils proposés par ACODEV en matière de genre.

Quelles actions prévues le 8 mars 2023?

La Marche Mondiale des Femmes aura lieu le 8 mars à 18h, avec de nombreuses animations prévues toute la journée.

  • De 8h à 9h30 sur l'Esplanade de la gare centrale : la Confédération européenne des syndicats (CES) organise l'action "Safe all the way" qui insiste sur le droit de voyager en toute sécurité vers et depuis le lieu de travail et sur la responsabilité des employeurs de fournir un environnement de travail sûr, en ce compris les déplacements domicile-lieu de travail.
  • 14h-15h30, Place de l'Albertine : Action syndicale, plus d'informations disponibles via ce lien
  • 15h30, Place de l'Albertine : Village féministe avec la participation notamment du Monde selon les Femmes
  • 17h30, Place de l'Albertine : Rassemblement en vue du départ de la Marche Mondiale des Femmes prévu à 18h. Pour plus d'informations sur les revendications de la Marche Mondiale des Femmes, veuillez consulter la page Facebook de l'événement

En outre, le collecti.e.f 8 maars lance un large appel à rejoindre la grève féministe ce 8 mars 2023. Dans le sillage de l'engouement mondial et après 4 années de grève en Belgique, le collecti.e.f 8 maars appelle les femmes* à s'arrêter le 8 mars, à faire grève, à renoncer aux tâches domestiques, au travail rémunéré ou aux cours et à ne pas consommer. Par cette action, on souhaite mettre l'emphase sur le rôle important que joue le travail des femmes dans le fonctionnement de la société. Parce que lorsque les femmes* s'arrêtent, le monde s'arrête. Pour plus de détails sur l'histoire du collectif, ses revendications, les possibilités de soutenir ou de rejoindre le mouvement, veuillez vous rendre sur leur site web.  *ou toute personne qui se reconnaît dans cette appellation  

Autres activités

  • Fairtrade International et Fairtrade Belgium organisent une table ronde et un événement de mise en réseau sur les défis spécifiques auxquels sont confrontés les femmes productrices dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. La soirée de discussion "Levelling the Field : Discussing Gender Equality and Food Systems" aura lieu le lundi 6 mars de 18h00 à 21h30 au 26 Rue d'Edimbourg 1050 Ixelles (bâtiment Mundo-B). L'inscription est obligatoire : https://forms.gle/TnVm9A12nRxHRp3Q8
     
  • Du 6 au 10 mars 2023, la Ville de Bruxelles organise la Semaine des Droits des Femmes pour marquer la date symbolique du 8 mars. Pendant cette semaine, des activités variées (conférences, ateliers ludiques, expositions, pièces de théâtre,…) seront proposées afin d'aborder diverses thématiques en lien avec les inégalités de genre et les droits des femmes. Pour son édition 2023, la Ville de Bruxelles s'est donné pour objectif principal la déconstruction des mythes autour du, ou des, féminisme(s) auprès du public Bruxellois. Pour consulter le programme détaillé de la semaine, rendez-vous sur le site web de l'événement.
     
  • En écho avec la journée internationale des droits des femmes, l'espace multidisciplinaire "La Vénérie" (situé à Watermael-Boitsfort) entend ramener en 2023 les femmes au coeur de la programmation. Souvent reléguées au second rôle, les femmes seront mises à l'honneur durant tout le mois de mars au travers de films, de documentaires et de spectacles. Pour plus d'informations sur les différentes représentations et projections, rendez-vous sur le site de la Vénérie

Quels appuis à ACODEV sur la thématique du genre?

A l'occasion du 8 mars, nous tenons également à mettre en avant des outils qui peuvent faciliter l'intégration du Genre au sein de votre organisation :

  • La Charte Genre qui se veut un instrument de développement d’une culture qui favorise l’égalité de genre dans le secteur des OSC.
  • Le Guide de bonnes pratiques genre qui capitalise sur la richesse des expériences du secteur dans les domaines de la communication, de la mobilisation, du plaidoyer, et de l’éducation.

Plus de ressources sont disponibles dans le Portail Qualité, dans le thème « Genre et diversité ». Si vous disposez d'outils sur la thématique que vous souhaiterez partager avec l’ensemble du secteur, n’hésitez pas à les encoder directement dans le Portail Qualité (ou à nous contacter en cas de soucis - ms@acodev.be).

Il existe également un Groupe de Travail qui se focalise sur la thématique de Genre au sein d’ACODEV. Ce groupe est réservé aux membres d'ACODEV. L’objectif principal du groupe de travail est d’accompagner et d'appuyer les organisations membres dans leurs démarches d’intégration du genre, tant dans leur structure organisationnelle que dans leurs programmes mis en oeuvre avec leurs partenaires. Cet appui se fait au travers d'un renforcement mutuel entre organisations, par un échange de bonnes pratiques et d’expériences. Le prochain GT Genre aura lieu le 23 mars, pour plus d'informations à ce sujet, veuillez consulter ce lien.

Appel à dons #Ukraine1212

  1. Créé par Lawrence PIETERS
  2. Le 10/03/2022
  3. Dans Actualités
Face à la catastrophe humanitaire en Ukraine, le Consortium 12-12 a lancé l'appel #Ukraine1212, pour récolter des dons en faveur des victimes du conflit.

Ce jeudi 3 mars, les membres du Consortium 12-12 ont lancé un appel conjoint en faveur des victimes de la crise en Ukraine. Le Consortium 12-12 réunit différentes organisations humanitaires (Caritas International, Médecins du Monde, Handicap International, OxfamBelgique, Plan International Belgique, Rode Kruis-Vlaanderen/ Croix-Rouge de Belgique et UNICEF Belgique) pour collecter des fonds en Belgique lors de crises humanitaires graves.

Cette action commune a pour objectif de réunir les fonds nécessaires au financement d’opérations humanitaires en Ukraine et dans les pays voisins qui font face à un afflux important de réfugié·e·s en provenance d’Ukraine. Ces fonds seront utilisés pour mettre en place des programmes d’aide dans le domaine des soins de santé, de la nutrition, de l’approvisionnement en eau, de l’hygiène, de l’éducation en situation d’urgence, de soutien psychosocial et de protection des abus et exploitations.

Vous pouvez donner maintenant sur le numéro de compte bancaire BE 19 0000 0000 1212 et en ligne sur 1212.be !

A l’occasion du 5ème anniversaire des Objectifs de développement durable (ODD), nous partageons des initiatives d’OSC qui contribuent de manière efficace et innovante à la réalisation de ces objectifs. Cette semaine, l’ODD 1 : Eliminer la pauvreté sous toutes ses formes et partout dans le monde.

Le 25 septembre 2015, les 17 Objectifs de développement durable ont été adoptés par l'Assemblée générale de l'ONU dans le cadre de l’Agenda 2030. Les ODD constituent un appel à l’action de tous les pays à lutter contre la pauvreté et remettre la planète sur la voie de la durabilité.

Ce combat pour un développement juste et durable, les Organisations de la société civile (OSC) belges actives dans la coopération au développement en sont le fer de lance. Education, santé, alimentation, droits du travail, protection sociale, lutte contre le changement climatique… Travaillant aux côtés de leurs partenaires sur tous les continents, les OSC mettent en œuvre une multitude de projets innovants, collaboratifs et à long terme qui bénéficient à des milliers de personnes au niveau local et plaident pour la réalisation de ces objectifs au niveau mondial. En voici deux exemples concrets en rapport avec l’ODD 1.

La protection sociale comme rempart contre la pauvreté au Népal

En 2017, le Népal a adopté une loi sur la protection sociale universelle, après des années de pression des syndicats. L’OSC belge WSM, liée au Mouvement ouvrier chrétien, accompagne depuis longtemps ce combat. Elle œuvre à renforcer des mouvements sociaux sur plusieurs continents et les rassemble sous forme de réseaux, afin que les générations actuelles et futures puissent bénéficier du droit universel à une vie digne et à une protection sociale. « Nous travaillons en Asie au sein du Asia Network on the Right to Social Protection », raconte Bruno Deceukelier, Coordinateur Asie pour l’organisation. « Notre spécificité est notre approche multi-acteurs : nous rassemblons syndicats, mutuelles et autres partenaires de la société civile au sein de réseaux locaux, nationaux et internationaux. Ces réseaux constituent un levier primordial pour peser plus fortement sur l’agenda politique ».

C’est notamment en raison de cette spécificité que WSM a été mandaté pour appuyer l’implémentation et la promotion de cette nouvelle loi, au sein d’un projet pilote avec l’UNICEF et l’Organisation internationale du travail (OIT). « La communauté internationale et ses institutions reconnaissent l'importance du rôle de la protection sociale pour réaliser un développement durable et inclusif. Il suffit de regarder l'Agenda 2030 dans lequel la protection sociale se retrouve dans pas moins de cinq objectifs de développement durable ». Au Népal, la loi prévoit de mettre en œuvre les 4 socles de la protection sociale : les allocations familiales, l’accès au soin de santé, la sécurité de revenus pour la population active, et les pensions. « Ces 4 socles correspondent au cycle de vie de tout individu : enfance, vie active, vieillesse. En ce sens, on voit que la protection sociale est un rempart contre la pauvreté durant toute une vie, pour toutes les générations ».

« La communauté internationale et ses institutions reconnaissent l'importance du rôle de la protection sociale pour réaliser un développement durable et inclusif »

Alors que l’UNICEF et l’OIT se concentrent principalement sur le travail avec le gouvernement et le secteur formel, WSM agit directement au niveau local, en partenariat avec les deux syndicats népalais, GEFONT et NTUC, et la société civile. « Le vote de la loi est bien sûr une étape décisive, mais ensuite, il reste encore beaucoup à faire sur le terrain », explique Bruno Deceukelier. « Il faut promouvoir le projet au niveau local, trouver des adhérent·e·s, toucher le secteur informel qui est très important au Népal. Chaque secteur a aussi ses problématiques et il faut souvent trouver une solution par secteur. »

Pour WSM, il est essentiel que la sécurité sociale s’applique aux couches les plus vulnérables de la population. « Tous nos projets ont une composante genre très importante. Nous insistons beaucoup sur le droit des femmes, des enfants, mais aussi des travailleurs·euses du secteur informel et des travailleurs·euses migrant·e·s ». Environ un tiers de l’économie népalaise dépend en effet de ses expatrié·e·s, dont beaucoup vont tenter leur chance en Malaisie ou dans les pays du Golfe. De nombreux ouvriers népalais ont par exemple participé à la construction de stades pour la prochaine coupe du monde de football au Qatar, dans des conditions très difficiles mises en évidence par de nombreux médias. « Dans les pays – comme le Qatar – où les syndicats sont interdits, nous essayons de créer une antenne du syndicat népalais. Notre projet vise ainsi à être inclusif, universel et durable, et en ce sens, il répond parfaitement aux objectifs de l’Agenda 2030 ».

Plus d’infos : https://www.wsm.be/notre-reseau/nos-organisations-partenaires/nepal-1.html

Sango, accompagner les familles pour donner un avenir aux enfants

L’attention aux plus vulnérables de la société est au cœur de l’Agenda 2030 et du projet Sango de SOS Villages d’enfants. Parce qu’ils comptent parmi les groupes les plus vulnérables, et parce qu’ils représentent l’avenir, les enfants sont une cible privilégiée des ODD qui visent à leur léguer une planète juste et durable. Sango (« changement » en espéranto) vise à améliorer les conditions de vie de milliers d’enfants en République Démocratique du Congo et au Burundi à travers un accompagnement familial et un soutien à la communauté.

« Dans un premier temps, nous faisons appel à la communauté pour identifier les enfants et les familles les plus en danger de pauvreté », explique Joan Audierne, Directrice des programmes de l’organisation. « Nous accompagnons ensuite ces familles de manière individuelle et adaptée à chaque situation ». C’est en effet quand leurs parents ont des difficultés ou manquent de moyens pour prendre soin de leurs enfants que le risque de pauvreté et d’exclusion est le plus grand.

L’objectif principal de Sango est que les familles deviennent autonomes au niveau économique, et soient capables de répondre à leurs besoins fondamentaux et ceux de leurs enfants, notamment en matière d’accès à la santé, à l’alimentation, à un logement décent et à l’éducation. « Pour lutter contre la pauvreté des enfants de manière durable, nous appliquons une approche holistique : renforcement économique, formation, soutien en matière de protection sociale, sensibilisation aux Droits de l’enfant, prévention de la séparation familiale… Et cela, au niveau des enfants, de la famille, de la communauté, et même au niveau global à travers nos actions de plaidoyer ». En Belgique, par exemple, SOS Villages d’Enfants travaille en collaboration avec d’autres acteurs au sein de la Plateforme pour les Droits de l’enfant dans la coopération au développement. « Nous utilisons les ODD comme cadre de référence et en proposons une relecture sous la perspective des Droits de l’enfant. Notre objectif est d’assurer l’intégration des droits de l’enfant dans les politiques belges de coopération au développement et dans leur mise en œuvre ».

L’objectif de Sango est que les familles deviennent autonomes au niveau économique, et soient capables de répondre à leurs besoins fondamentaux et ceux de leurs enfants

Le renforcement économique de la communauté est une composante importante du projet. Sango appuie le développement d’associations villageoises ou communautaires d’épargne et de crédit. « En général, ces associations regroupent entre 20 et 30 familles qui vont y placer leur épargne ». Cette caisse donne non seulement accès à des micro-crédits à taux très bas, mais elle crée aussi un système de solidarité entre les membres : « chaque caisse comprend un fonds de solidarité qui est utilisé pour répondre aux besoins des familles les plus vulnérables ». Pour Joan Audierne, « c’est un système simple et efficace qui peut être déployé dans différents projets et situations. D’ailleurs, on voit que ce modèle est adopté de manière autonome dans d’autres communautés ».

Plus d’infos : https://www.sos-villages-enfants.be/projets/sango-des-enfants-forts-pour-changer-le-monde

Quinzaine de la Solidarité internationale 2020

  1. Créé par Lawrence PIETERS
  2. Le 21/09/2020
  3. Dans Actualités
La Quinzaine de la Solidarité Internationale de la Ville de Bruxelles aura lieu cette année du 1er au 15 octobre.

La Quinzaine de la Solidarité Internationale est le fruit d’une étroite collaboration entre la Ville de Bruxelles et de nombreux acteurs du milieu associatif, social et culturel bruxellois, tous soucieux d'interpeller le citoyen quant aux diversités et aux déséquilibres de ce monde.

L’édition 2020 se focalise sur le partage. Le partage des richesses, du pouvoir, des ressources naturelles, des savoirs, des émotions... Le partage qui relie la majorité des enjeux sociétaux de notre époque et qui est le moteur de la solidarité internationale. 

Du 1er au 15 octobre 2020, près de 30 activités vous seront proposées pour prendre part à cette période de réflexion, de rencontres, de divertissements citoyens, répartis en différents lieux de la Ville de Bruxelles : débats, concerts, spectacles, expositions, projections, workshops, et bien plus … 

Compte tenu de l’imprévisibilité liée aux mesures COVID, nous vous invitons à consulter notre site en cas de modification de la date ou lieu des événements. 

Regardez notre programme sur solidarite.bruxelles.be

Les organisations de la société civile actives dans la coopération au développement, accompagnées par leur fédération, se mobilisent et adaptent leur travail face à la pandémie et aux mesures exceptionnelles qu'elle provoque. Mis à jour le 4/06/20.

Le secteur des organisations de la société civile (OSC) actives dans la coopération au développement, comme de nombreux autres secteurs, est impacté par la crise du coronavirus, non seulement en Belgique, mais aussi dans les pays partenaires.

Comme toute crise de cette ampleur, la pandémie de COVID-19 touche d’abord les populations les plus fragiles. Les organisations de la société civile, actives dans la coopération au développement ou dans l’aide humanitaire, sont en première ligne pour apporter leur soutien et leur expérience à ces populations. C’est pourquoi elles se mobilisent pour garantir la continuité de leur travail.

Malgré le confinement, l’équipe d’ACODEV poursuit également ses efforts pour soutenir ses membres dans ce contexte difficile et les orienter face aux défis rencontrés. Dans ce cadre, nous privilégions les échanges avec les organisations membres afin de recenser les difficultés qu’elles rencontrent au niveau financier, administratif, mais aussi dans leur travail sur le terrain, notamment en ce qui concerne la sécurité de leurs collaborateurs·trices. Nous assurons également le dialogue et la coordination avec l’autorité fédérale dans la gestion de cette crise, afin de nous assurer du soutien des pouvoirs publics à nos organisations membres.

Nous partageons ci-dessous des informations utiles aux organisations. Cette page sera régulièrement mise à jour pour partager de nouvelles informations et refléter de nouveaux développements.

 

Informations sanitaires

Le personnel des OSC et de la fédération suit évidemment les recommandations du SPF Santé Publique concernant les mesures à prendre durant le confinement : #stayathome !

Vous pouvez trouver des informations actualisées sur la pandémie et les mesures sanitaires :

 

Fonctionnement d’ACODEV durant le confinement

La situation et les mesures de confinement liées au COVID-19 évidemment un impact  sur les activités et le fonctionnement d'ACODEV.

L'équipe d'ACODEV est actuellement intégralement en télétravail. Tous les Helpdesks pour les membres sont fonctionnels par mail ou aux numéros habituels indiqués.

ACODEV réoriente une partie de ses activités d'appui et de formations en format digital. Vous serez tenus au courant de ces activités à travers notre newsletter. Certaines d'entre elles peuvent encore faire l'objet de report ou d'annulation en raison de la crise.

Plus d’informations pour nos membres.

 

Impact du Covid-19 sur les programmes des OSC

Nous réalisons en ce moment une cartographie des besoins et des difficultés rencontrées par nos organisations membres au niveau de l'exécution de leurs programmes.

Au niveau de la DGD, il est recommandé aux organisations de s'adapter à la situation en profitant au maximum de la flexibilité offerte par l'AR 2016. Les activités qui peuvent être menées à distance ou via les canaux digitaux doivent l'être selon l'agenda prévu. Les activités du programme des organisations doivent se poursuivre dans la mesure du possible.

 

Coopérant·e·s

La situation a immédiatement amené des questions sur le personnel expatrié des organisations.

 

Ressources humaines

Télétravail, assurances, chômage temporaire… Le contexte a un impact important sur le personnel et la gestion des ressources humaines des organisations. Nous rassemblons ici des liens utiles.

 

Réponse européenne à la crise

Nous vous informons des dernières discussions qui se déroulent au niveau européen.

 

Appels à projets

Nous recensons ici quelques appels à projets adaptés ou lancés dans le contexte du COVID-19.

 

Organisation du travail

Nous vous partageons des expertises et des idées pour organiser le travail de son organisation à distance.

 

Faire des dons

La Fondation Roi Baudouin a rassemblé plusieurs initiatives pour soutenir la lutte contre le coronavirus en Belgique, notamment en vue d’acquérir du matériel hospitalier : https://www.kbs-frb.be/fr/Newsroom/Press-releases/2020/2020_03_23_COVID_19_General_ID

L'OMS et la Fondation des Nations-Unies ont créé le ‘COVID-19 Response Fund’ pour soutenir les recherches sur la propagation du virus, sur son traitement, et soutenir la fourniture de matériel médical : https://covid19responsefund.org/

La pandémie de coronavirus ne doit pas faire oublier qu’à travers le monde, de nombreuses autres crises sociales et humanitaires subsistent. Comme les inégalités sociales, ces crises ne seront qu’accentuées par la pandémie. C’est pourquoi nous vous appelons à continuer à soutenir le travail de nos organisations membres par des dons.

Conseils pour le bien-être en télétravail

  1. Créé par Lawrence PIETERS
  2. Le 02/04/2020
  3. Dans Actualités
Pour la plupart des collaborateurs·trices des OSC en Belgique, confinement rime avec télétravail. Voici quelques conseils pour le bien-être en télétravail, recueillis par Véronique Paternostre, responsable de la prévention et du bien-être au travail au sein du CNCD-11.11.11.

Ces quelques conseils sont notamment tirés du guide "Ergonomie et télétravail temporaire" de l'ENTRAC.

Qualité de l’air intérieur

Aérer 10 minutes les pièces de vie, le matin ET en fin de journée pour aider à la qualité de votre sommeil. Eviter les désodorisants, et autres produits surtout « brûlés » comme l’encens, ça génère des toxines.

Lieu de télétravail

Idéalement on parle d’avoir un espace, une pièce dédiée… mais ce n’est pas toujours évident dans nos domiciles, surtout quand toute la famille est confinée en même temps… Dès lors, privilégier un espace / poste spécifique, le même si possible, sans distractions visuelles, à l’écart du bruit ambiant… (cfr ci-dessous)

Temps de télétravail

Essayez d’organiser la vie de la famille en alternant périodes calmes (chacun pour soi) et communes avec moments de détente / défouloirs. Vous ferez peut-être moins d’heure qu’au bureau, mais il s’agit ici aussi de préserver un certain équilibre individuel et familial… et de tenir dans la durée ! Il faut donc apprendre à faire de vraies coupures. On ferme l’ordi, on le range, on se donne des objectifs familiaux, et personnels. On déconnecte pour mieux ensuite se reconnecter et se concentrer sur le travail.

Ergonomie

Rare sont sans doute celles et ceux qui ont un « vrai » poste de travail à la maison avec siège professionnel, bureau, écran, clavier, souris bien positionnés. Quand c’est pour du télétravail exceptionnel, ou une fois par semaine, peu importe…  Mais ici on est dans un cas de figure particulier. Alors voici quelques règles de base et pistes de « débrouille » :

  • Soutien du dos : cherchez chez vous ce qui se rapproche le plus d’un vrai siège de bureau (ne pas s’affaler dans le canapé, ni se tenir sur un petit tabouret de cuisine). Une bonne hauteur pour que les genoux soient en angle droit. ET coudes en angles droit sur la table.
  • Poignets : important d’avoir les avants-bras les plus horizontaux possible ! donc au besoin relevez votre siège et éloignez votre ordi du bord de table pour que l’avant-bras s’appuie sur la table (pas un bout de poignet !)
  • Cou : Surélevez votre ordi pour que l’écran soit à hauteur des yeux ! car trop bas, il oblige à une tension dans le cou et le haut du dos en souffrira.
  • Yeux/ vision : évitez les très nombreuses d’heure d’affilée sur écran, tenez votre écran à une distance de 70cm (un bras étendu), réglez sa luminosité pour qu’il en soit pas trop brillant, et quittez vos yeux de l’écran au moins quelques minutes tous les 20 minutes. Positionnez votre écran pour qu’il n’y ait pas de reflets du soleil qui vous perturbent, et évitez la fenêtre lumineuse en arrière-plan de l’ordi…  Pour éviter de tout lire à l’écran, on peut tester la fonction « article à lire » pour les malvoyants… ça permets de fermer les yeux, regarder par la fenêtre tout en « lisant » un article…
  • Dos, circulation du sang : pourquoi ne pas chercher aussi des postes de travail en position debout ?  table-bar de cuisine ? planche à repasser ? planche de bibliothèque ? l’important est de faire circuler le sang pour éviter l’ankylosement.

Et puis… BOUGEZ ! Toutes les heures, au moins, levez-vous et faites un peu d’étirements, marchez 2-3 minutes, et si vous en avez la possibilité, respirez un petit coup dehors (tour de la terrasse, balcon, jardin…). N’oubliez pas de BOIRE DE L’EAU régulièrement. SORTEZ marcher, vous balader une petite heure chaque jour… pour s’oxygéner, changer d’air, prendre du recul, se laisser rêver. Quelques exercices de yoga, ou une autre activité physique, aident beaucoup aussi !

Le CNCD-11.11.11 publie son Rapport 2019 sur l’aide belge au développement. Ce rapport dresse le bilan de la Coopération belge au cours de l’année 2018, mais aussi de l’ensemble de la législature qui s’achève.

Le Rapport 2019 souligne plusieurs aspects positifs de la politique de Coopération belge, dont le fait que l’aide belge est quasi-totalement déliée et qu’elle est concentrée en priorité dans les pays les plus pauvres et les États fragiles. Toutefois, plusieurs points négatifs sont pointés, à commencer par la baisse de l’aide belge au développement, qui est tombée à 0,44% du revenu national brut en 2018, s’éloignant de l’objectif international des 0,7% du revenu national brut. L’aide belge a ainsi atteint un niveau historiquement faible : la Belgique est ainsi passée de la 6e à la 9e place des principaux pays donateurs entre 2010 et 2018 en termes relatifs, et même de la 13e à la 16e place en termes absolus. Elle est donc aujourd’hui sous la moyenne des donateurs européens (qui s’élève à 0,47%). Par ailleurs, la Belgique reste la première destinataire de sa propre aide au développement, suite à la comptabilisation dans l’aide au développement des frais d’accueil des demandeurs d’asile sur le territoire belge.

Le Rapport 2019 pointe également la contradiction entre la volonté de concentrer la Coopération belge dans les pays les moins avancés et la multiplication d’instruments d’appui au secteur privé. Les études montrent en effet que de tels instruments sont inadaptés à la réalité des pays les plus pauvres et les plus fragiles.

Selon Arnaud Zacharie, secrétaire général du CNCD-11.11.11 : « La Belgique ne fait plus partie du peloton de tête des pays donateurs. Elle s’est éloignée de l’objectif international de 0,7% et est passée sous la moyenne européenne. La législature qui s’achève est donc une législature perdue pour l’aide belge au développement. C’est pourquoi le prochain gouvernement doit adopter un plan pluriannuel visant à atteindre au plus vite l’objectif international de 0,7% du revenu national brut. »

Téléchargez le rapport complet sur www.cncd.be.

Quinzaine de la Solidarité Internationale à Bruxelles

  1. Créé par Lawrence PIETERS
  2. Le 18/09/2019
  3. Dans Belgique Actualités
Du 1er au 18 octobre 2019, la Ville de Bruxelles met la solidarité et la réduction des inégalités au cœur des débats.

La Quinzaine de la Solidarité Internationale est le fruit d’une étroite collaboration entre la Ville de Bruxelles et de nombreux acteurs du milieu associatif, social, et culturel bruxellois, tous soucieux d'interpeller le citoyen quant aux diversités et aux déséquilibres de ce monde.

Cette année, c’est la question de la réduction des inégalités mondiales qui sera mise au cœur des débats, un des 17 objectifs de développement durable (ODD) déterminés par les  États membres des Nations unies et rassemblés dans l’Agenda 2030.

Du 1er au 18 octobre 2019, plus de 25 activités vous seront proposées pour prendre part à cette période de réflexion, de rencontres, de divertissements citoyens, répartis en différents lieux de la Ville de Bruxelles : débats, concerts, spectacles, expositions, projections, workshops, et bien plus … 

Venez vivre avec nous ces moments citoyens et solidaires !

Regardez notre programme sur solidarite.bruxelles.be.

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