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Les acteurs indirects sont aussi appelés ACNG (acteurs de la coopération non gouvernementale).

Les Organisations de la société civile

La majorité des ONG belges possèdent une "accréditation comme organisation de la société civile" donnée par l'État belge. Elles sont alors qualifiées d'OSC (Organisations de la société civile). Cette reconnaissance permet à l'organisation d'introduire des demandes de subsides au gouvernement fédéral, communautaire et régional ou à des institutions internationales.

Comme leur nom l'indique, les OSC sont issues de la société civile et constituées en ASBL. Elles nouent des liens de partenariat avec des ONG dans les pays du Sud. Ce sont donc des liens directs de la société civile belge avec la société civile d'autres pays.

Plus d'infos

Les acteurs institutionnels

Il s'agit d'organisations indépendantes mais ayant un lien direct avec les institutions telles que des universités, des syndicats, des communes... Elles son regroupées au sein de la fédération des acteurs institutionnels du développement, FIABEL, un partenaire privilégié d'ACODEV.

Fiabel réunit 9 acteurs institutionnels : Académie de Recherche et d’Enseignement supérieur (ARES), Africalia, Association de Villes et Communes de Bruxelles (BRULOCALIS), Association pour la Promotion de l'Éducation et de la Formation à l'Etranger (APEFE), Institut de Médecine tropicale (IMT), Union des Villes et Communes de Wallonie (UVCW), Vereniging van Vlaamse Steden en Gemeenten (VVSG), Vlaamse Interuniversitaire Raad – Universitaire Ontwikkelingssamenwerking (VLIR-UOS) en Vlaamse Vereniging voor Ontwikkelingssamenwerking en Technische Bijstand (VVOB).

Institutions internationales

La coopération au développement et le travail de solidarité internationale de la Belgique se déploient aussi à un niveau plus multilatéral, qui dépasse les seuls accords de coopération bilatérale avec un pays donné. Ainsi, au niveau de la coopération officielle, la Belgique contribue de manière substantielle à des nombreuses agences et à plusieurs organismes des Nations-Unies, en particulier la Banque Mondiale, le FMI, le programme ONUSIDA, l’OIT, l’OIM, etc. Ces contributions sont généralement d’ordre budgétaire, et sont gérées et orchestrées par l’Administration fédérale en charge de la coopération au développement (DGD).

A côté des ces participations publiques de la Belgique, d’autres acteurs indirects, en particulier, des Organisations de la société civile, mènent aussi des actions significatives en matière de solidarité internationale via des réseaux internationaux ou au sein des instances multilatérales ; on peut citer notamment le travail de l’UNICEF, de MSF en matière de santé (par exemple lobbying sur l’accès à des médicaments génériques), d’OXFAM au sein du réseau Oxfam International, etc.

Les institutions nationales

Les Pays du Sud reçoivent l'aide internationale mais mettent également sur pied des institutions qui structurent et planifient cette aide venue de l'extérieur. Nombreux sont donc les pays à posséder un Ministère de planification de l'aide, par exemple.

Les coordinations

Indépendamment ou en collaboration avec ces institutions gouvernementales, l'aide internationale s'organise aussi dans des structures ou via des directives.

Par exemple la Belgique essaye de créer des intéractions entre les différents acteurs belges (OSC, Enabel, universités, etc) qui travaillent dans un même pays.

Au niveau fédéral

La coopération au développement fait partie des compétences du Ministre Alexander De Croo au niveau fédéral. Une administration et une agence de développement gèrent cette matière au niveau fédéral.

La Direction-Générale Coopération au Développement et Aide Humanitaire (DGD) dépend du Service Public Fédéral Affaires étrangères. C’est elle qui se charge de l’aide bilatérale (à travers des programmes gouvernementaux) et multilatérale de l’Etat fédéral. La DGD reconnaît et cofinance les activités proposées par les acteurs de la coopération indirecte (par exemple les OSC). Outre ces services, la DGD possède aussi des programmes « spéciaux » pour des situations d’urgence (Aide d’urgence, réhabilitation et aide alimentaire) ainsi qu’un programme Fonds Belge de Survie, un programme de Consolidation de la société et des programmes de sensibilisation de la population belge. La DGD fait le suivi des programmes bilatéraux et multilatéraux mais ne les exécute pas elle-même. Elle fait appel pour cela à Enabel. La DGD fait aussi le suivi du cofinancement donné aux acteurs de la coopération indirecte mais l’initiative et l’exécution restent du côté de ces acteurs.

Enabel est l'Agence belge de développement chargée de l’exécution de coopération au développement bilatérale belge. C’est une société anonyme de droit public à finalité sociale dont les relations avec l’Etat fédéral sont définies dans un contrat de gestion. Enabel met en oeuvre et fait le suivi des programmes conçus par la DGD ; mais aussi des programmes appartenant à d’autres institutions (par exemple : UE).

Concrètement cela veut dire que Enabel a un bureau de représentation dans les pays de l’aide gouvernementale ainsi que des coopérants pour mettre en oeuvre ces programmes.

C’est aussi Enabel qui gère :

Au niveau communautaire et régional

Les ministres des relations extérieures au niveau fédéré sont : Rudy Demotte pour la fédération Wallonie Bruxelles, Geert Bourgeois pour le gouvernement flamand, Guy Vanhengel pour la région bruxelloise (compétence déléguée à la secrétaire d'Etat Bianca Debaets).

Wallonie Bruxelles International est une administration publique chargée des relations internationales Wallonie-Bruxelles. Elle est l’instrument de la politique internationale menée par la Communauté française de Belgique la Région wallonne et la Commisssion communautaire française (COCOF) de la Région de Bruxelles-Capitale.

Le Departement internationaal Vlaanderen (DIV) est le département chargé des relations internationales et notamment la coopération au développement au sein du gouvernement flamand.

Brussels international a été créée afin de développer une politique étrangère cohérente au sein de la Région de Bruxelles-Capitale. Au sein de Bruxelles Coordination Régionale, elle exerce un rôle de coordination des relations et de la représentation de la Région dans le monde.

Travailler dans une ONG de développement

Toutes les offres courantes des ONG de développement sont postées sur la page Emploi.

Fonctions

Il n'y a pas de profil type pour travailler dans le secteur ONG. Le parcours de formation varie également. Ci-dessous un essai de description des fonctions les plus fréquentes.

  • Directeur-trice : Il-elle a une délégation large du conseil d'administration pour gérer l’association et pour l’engager.
  • Coordinateur-trice de département, gestionnaires financiers, ou des ressources humaines : Il-elle supervise, organise et coordonne un ou plusieurs service(s)/projet(s)/département(s) de l'association conformément aux orientations définies par les instances dirigeantes. Il est responsable du/des service(s)/projet(s)/département(s) dont il-elle a la charge.
  • Le-a chargé-e de plaidoyer relaie, défend et promeut les positions et les revendications politiques de l’association, des partenaires des pays en voie de développement et des différents réseaux auxquels il-elle participe. C'est une fonction plus spécifique aux ONG par rapport au monde associatif.
  • Expert-es et chercheurs apportent et capitalisent les connaissances nécessaires à améliorer la qualité des interventions de l’organisation dans son domaine d’expertise. 
  • Chargé-e de la récolte de fonds met en œuvre les actions adéquates et diversifiées pour assurer des rentrées financières privées et/ou institutionnelles conformément aux politiques et stratégies de l'association. 
  • Gestionnaire de projets travaille sur une partie ou sur l'ensemble des étapes des projets en conformité avec les finalités de l'association : élaboration, mise en place, suivi et évaluation.
  • Animateur-trice en ED conçoit et/ou réalise des projets/programmes/actions/outils pédagogiques d'éducation au développement conformes aux finalités de l’association et aux programmations afin d'informer, de sensibiliser et/ou de mobiliser un public cible.
  • Chargé-e de la communication conçoit ou met en œuvre tout moyen, action, réseau de communication visant à rendre visible, à faire connaître l’association et à faciliter les relations de l’association avec son environnement. 
  • Comptable enregistre et traite des informations relatives aux mouvements financiers de l’association.
  • Informaticien/ne assure le bon fonctionnement de l’outil informatique, c'est-à-dire toutes les ressources techniques (hardware ou software) participant à la gestion de l’information dans toutes ses composantes (support technique, maintenance et développement). 
  • Documentaliste met en place l’organisation, le fonctionnement, la gestion de services de documentation et la gestion et la conservation de l’information. Il assure l'accès à l'information, sa circulation et sa conservation, selon des systèmes de classements et/ou d'indexations, en fonction des techniques documentaires d'acquisition, de production, de conservation et de communication.

Bien entendu les ONG sont très différentes les une des autres et toutes ne disposent pas de toutes ces fonctions. La sélection des candidats s'effectue sur base des capacités et compétences de chacun. Mais à compétences égales, c'est le degré d'engagement qui fait la différence. Si un poste suscite énormément de candidatures et que certaines ne présentent pas d'expérience d'engagement (quelles qu'elles soient) elles risquent de ne pas être prises en compte.

Plus d'infos sur le personnel des ONG sur ong-livreouvert.be.

Les recrutements dans les institutions nationales

SPF Affaires étrangères - Direction générale du Développement

Cet organisme gère tous les programmes fédéraux de développement. Il est possible d'y travailler comme statutaire ou contractuel. Leur site présente les différents statuts et les modalités de sélection pour les postes.

Enabel - Agence Belge de Développement

C'est l’agence fédérale belge de coopération au développement, son rôle est davantage porté sur l'exécution de projets que sur la gestion (contrairement à la DGD). Enabel recrute régulièrement pour son siège à Bruxelles.

La coopération au développement peut être envisagée sous différents angles, chacun nécessitant des approches spécifiques. Les OSC sont engagées dans de nombreux secteurs allant de l'agriculture à la santé, de la protection de l'environnement à l'économie durable et à la défense des droits humains et de la démocratie.

Les secteurs de la coopération au développement fédérale

La coopération fédérale a défini une liste des secteurs dans lesquels elle est active:

  • Santé et aide d'urgence
  • Enseignement
  • Agriculture et secteur rural
  • Infrastructure
  • Environnement
  • Economie et activités productives
  • Aide d'urgence et réhabilitation
  • Droits humains, sociaux et culturels des groupes les moins favorisés
  • Pacification, prévention des conflits et processus de démocratisation
  • Education à la citoyenneté mondiale et solidaire

Les OSC belges dans les pays du Sud

Les OSC belges sont présentes dans de nombreux pays du Sud, particulièrement en Afrique, en Asie et en Amérique latine. Historiquement, elles ont des liens privilégiés avec les pays d'Afrique francophone, et particulièrement la région des Grands Lacs.

Alors que le Ministère de la coopération au développement a décidé en 2015 de concentrer son action sur 14 pays parmi les "moins avancés" (voir ci-dessous), tous situés en Afrique, les OSC sont autonomes dans le choix de leurs pays d'intervention. C'est pourquoi les OSC belges  continuent à travailler dans les autres pays en développement, et notamment les pays émergents en Afrique, Asie et Amérique Latine. 

Ces pays, où vivent la majorité des personnes les plus pauvres de la planète, se développent à grande vitesse. Mais ce développement ne profite pas à tous. Le soutien des OSC aux paysans, aux travailleurs, aux groupes de femmes, est l’un des moyens les plus efficaces pour y lutter contre les inégalités. Les OSC belges veulent continuer à construire le développement dans ces pays, grâce au travail réalisé avec les partenaires de terrain.

En Belgique

Construire un monde plus juste et durable, cela passe par des interventions dans les pays du Sud, mais aussi par de nombreuses actions en Belgique. De nombreuses OSC concentrent ainsi en Belgique leurs actions de plaidoyer auprès des institutions politiques, de sensibilisation et de formation du grand public, notamment dans les écoles, et de mobilisation citoyenne. Ces activités sont regroupées sous l'appellation d'éducation à la citoyenneté mondiale et solidaire.

Les Cadres Stratégiques Communs

Dans le cas de 26 pays partenaires (y compris la Belgique), les activités des OSC et AI sont coordonnées au sein de Cadres Stratégiques Communs (CSC). Les CSC permettent de favoriser la concertation et coordination des stratégies entre les acteurs d'un même pays, ainsi que de mettre en place des complémentarités ou synergies effectives entre organisations. Il existe 26 CSC "pays" et 4 CSC thématiques (qui couvrent plusieurs pays). Vous trouverez la liste des 26 pays dans lesquels les OSC travaillent en synergie au sein d'un CSC sur notre page dédiée aux CSC.

Autres pays partenaires

Les pays partenaires de la coopération belge fédérale

  • Bénin
  • Burkina Faso
  • Burundi
  • Congo (Rép. Dém.)
  • Guinée
  • Mali
  • Maroc
  • Mozambique
  • Niger
  • Ouganda
  • Rwanda
  • Sénégal
  • Tanzanie
  • Territoire palestinien

 

Les pays prioritaires du WBI

  • Bénin
  • Burkina Faso
  • Maroc
  • Palestine
  • République démocratique du Congo
  • Rwanda
  • Sénégal
  • Tunisie

 

Liste du CAD

La liste des pays qui peuvent bénéficier de l'aide au développement est établie par le comité d'aide au développement (CAD) de l'OCDE (Organisation de Coopération et de Développement Économiques). Cet organisme a pour mission de promouvoir les politiques qui amélioreront le bien-être économique et social partout dans le monde.

La coopération bilatérale

La coopération bilatérale se fait "d'état à état". Les institutions gouvernementales belges sont les principaux acteurs de la coopération bilatérale en Belgique. Au niveau fédéral, il s'agit principalement de la Direction-Générale Coopération au Développement et Aide Humanitaire (DGD), tandis qu'au niveau fédéré, le WBI, la DIV et Brussels international proposent leurs propres initiatives de développement.

La coopération multilatérale

La coopération multilatérale concerne la contribution de la Belgique aux efforts de solidarité coordonnés par des instances européennes et internationales comme l'ONU, dans le but notamment d'implémenter les Objectifs de développement durable (ODD). Ces institutions sont financées par les pays adhérents et ont leur propre politique de coopération au développement.

La coopération indirecte

Les Organisations de la société civile (OSC) et les acteurs institutionnels (AI) sont les acteurs de la coopération indirecte, agissant de manière indépendante mais reconnus par l'Etat belge. La coopération indirecte fait référence au travail que font les institutions non étatiques avec leurs partenaires du Sud. On l’appelle "indirecte" car l’Etat belge soutient ces actions mais n’est pas l’exécuteur ou décideur.

Le 4ème pilier

Il existe aussi un quatrième niveau dans la coopération au développement. Il est moins connu. Il s’agit d’initiatives citoyennes volontaires qui avec peu de moyens soutiennent des projets dans le Sud et créent des liens Nord/Sud. On retrouve dans cette catégorie les associations paroissiales, les mouvements de jeunes, les associations de quartier, les groupes scolaires ou n’importe quelle autre association de personnes qui à un moment s’intéresse à la problématique Nord/Sud.

Les partenaires du Sud

Enfin, sur le terrain, les pays du Sud mettent en place leurs propres organisations et institutions qui collaborent avec les acteurs belges.

Programmes annuels et Cadre stratégique

La fédération se dote de cadres stratégiques à 5 ans qui guident le travail de la fédération. Des programmes annuels viennent concrétiser chaque année ce cadre stratégique.

Vous pouvez consulter ces documents ici:

Dossier technique et financier 2022-2026

Plan d'action 2023

 

Evaluations externes

Les programmes de la fédération sont régulièrement évalués de manière externe. Des réponses managériales sont ensuite élaborées pour répondre aux recommandations de ces évaluations.

Vous pouvez consulter ici les derniers rapports d'évaluation et réponses managériales :

 Rapport d'évaluation finale 17-21

 Réponse managériale à l'évaluation finale 17-21

 

Rapports annuels

Chaque année, l'Assemblée Générale d'ACODEV approuve les activités réalisées par la fédération sur base du programme annuel d'activités. Celles-ci sont présentées sous forme de rapport annuel. Les programmes et leurs indicateurs servent de base pour la rédaction. Les rapports annuels sont accessibles au grand public et déposés au Dépôt légal de Belgique.

Rapport 2022

Rapport 2021

Rapport 2020

Rapport 2019

Rapport 2018

Rapport 2017

Rapport 2016

Rapport 2015

Rapport 2014

Rapport 2013

Rapport 2012

Rapport 2011

Nos rapports financiers sont également approuvés par l'Assemblée Générale d'ACODEV. Ils se composent du rapport financier en tant que tel et du rapport du réviseur qui certifie les comptes de l'asbl. Les rapports financiers annuels sont accessibles au grand public sur notre site ici et déposés à la Banque Nationale de Belgique.

Nos comptes sont révisés annuellement par RSMINterAudit .

Notre vision

ACODEV a pour vision une coopération de qualité dans laquelle ses membres contribuent aux nouveaux enjeux du développement, renforcent leurs compétences professionnelles et coordonnent leurs efforts avec les autres acteurs de la coopération au développement.

Nos missions

Nous, ACODEV, fédération professionnelle des ONG francophones et germanophones de coopération au développement, visons à rassembler les ONG et à avoir un rôle moteur et pro-actif à l’égard des membres, et nous recherchons un positionnement extérieur fort et clair qui traduise l’avis des membres, dans une optique de solidarité et d’atteinte d’objectifs communs.

Par ailleurs, nous existons par la dynamique des membres qui nous structurent et nous dirigent, et sommes également soutenus par un secrétariat qui assure la coordination des efforts et encourage, anime et stimule l’action ou la réflexion collective.

A cet égard, nous avons trois missions principales :

  • Faciliter un cadre externe qui promeut une coopération de qualité en assurant la représentation et la promotion des intérêts collectifs des membres, notamment avec les pouvoirs publics subsidiants ;
  • Soutenir et encourager les membres dans leurs efforts de professionnalisation et de renforcement de la qualité de leurs actions ;
  • Faire reconnaître le monde ONG et ses valeurs dans son ensemble et sa diversité.

En collaboration avec nos partenaires, nous répondons à ces trois missions en :

  • Défendant les positionnements collectifs vis-à-vis des pouvoirs publics sur base de mandats précis ;
  • Consultant et informant les membres de manière pertinente et régulière ;
  • Accompagnant les membres individuellement et collectivement, via des formations, appuis méthodologiques et services collectifs adaptés ;
  • Encourageant les synergies entre les membres et avec l’extérieur, en créant des partenariats en Belgique et en Europe ;
  • Assurant une veille stratégique par rapport aux enjeux du secteur ;
  • Améliorant notre fonctionnement interne et externe de manière continue ;
  • Représentant les membres vis-à-vis des pouvoirs publics, des partenaires et du grand public.

Nos principes et valeurs

  • ACODEV veut respecter les individualités des membres, les rythmes et les particularités de chacun d’entre eux qui représentent une source d’enrichissement collectif. Cette diversité est reconnue à travers un mode de décision et de positionnement démocratique.
  • ACODEV croit en l’importance du mouvement de solidarité envers les populations du Sud visant à faire respecter les droits et la dignité de tous les humains.
  • ACODEV croit que la coopération au développement menée par les ONG, basée sur des initiatives citoyennes, des partenariats et une « responsabilisation » et « autonomisation » des acteurs, apporte une plus-value dans cette recherche de justice, de solidarité mondiale et de développement durable.
  • ACODEV veut soutenir l’évolution d’ONG autonomes et transparentes dans leurs activités et leur gestion, qui développent une vision et une stratégie à long terme, dans un souci de qualité et de professionnalisme.

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